Antoine Daniel – What The Cut 10

Salut les petits garnements pas très photogéniques ! Vous connaissez l’Internet francophone, ce territoire farfelu qui dévoile les talents les plus étonnants, variés et souvent farfelus ? Vous avez eu droit au rappeur du 9-2, à la rappeuse du 38 et même au mystérieux roi Enoch. Mais aujourd’hui, je vous présente un trio québécois qui a réussi à toucher mon cœur avec une chanson d’amour plus belle que toutes les déclarations que j’ai jamais entendues. D’ailleurs, cette chanson a été mon alliée pour m’échapper de l’hôpital psychiatrique après plus de 4 ans de séjour. Eh oui, tout ça grâce à « Une fille inoubliable » ! Cette chanson-là, croyez-moi, elle s’incrustera dans votre esprit pour l’éternité. Bon, elle est très populaire au Québec, mais en France, on dirait qu’elle est passée sous le radar. Tant pis pour elle, moi je l’adoooore ! Bon, elle commence comme ça : « Faut croire que je te plais pas, parce que tu me rappelles même pas… » – Attends, je devrais peut-être changer de look alors ? Ah, l’amour, cet éternel mystère !

Ah, les charmants gars de la chanson… À se demander si Roger Federer, Chromosome 21 et Bugs Bunny n’auraient pas fait une fusion. Franchement, assumer une telle apparition relève du génie ou d’une surdose de médicaments. Peut-être les deux ! Je me demande comment ils ont réussi à se convaincre de sortir ça. Ils ont dû promettre des tonnes de croquettes à leur mère, non ? D’ailleurs, ce clip ressemble furieusement aux boys bands des années 2000. Et l’envie d’avaler une boîte entière de pilules, c’est normal, ça, après une telle performance ? C’est à ça qu’on reconnaît les vrais artistes, vous savez !

Bon, et si on parlait de ce jongleur ? Vous savez, celui qui est devant le Centre Pompidou à Paris. On dirait qu’il improvise, non ? Même un chat sur une chaise serait plus divertissant. Sérieusement, comment peut-on monter sur scène sans s’être entraîné avant ? C’est pas un spectacle, c’est une punition pour les yeux ! Moi, je l’entends d’ici, le monologue intérieur : « Ouais, là j’suis bon ! Et hop, ouais ! Wooooo, ça va être épique ! Attends, pourquoi je fais ça ?! » Ce gars-là, c’est un mix entre un jongleur et une autruche sous influence. Je ne sais pas ce qui est le pire : ses cascades ratées ou son choix de tenue. Je crois qu’il faudrait une enquête policière pour comprendre ce qui se passe dans sa tête. Mais, bon, on a tous nos moments d’égarement, non ?

Et maintenant, attaquons la partie avec l’Émeu nommé Monsieur Meu. Ça ne vous dit rien ? Eh bien, c’est un peu comme une autruche, enfin, quelque chose dans ce genre. Des voyageurs français en Australie ont eu la chance (?) de vivre cette expérience unique. Enfin, unique si on n’a jamais vu un truc aussi fou de sa vie. Monsieur Meu, c’est un peu comme si Bugs Bunny avait trop abusé des carottes et de la tequila. « Monsieur Meu ! Oh, il est gentil, Monsieur Meu ! Oula, oula, j’aime pas quand il fait ça ! Ferme la porte, ferme la porte, ferme la porte ! » – Ah, pauvre autruche, tu ne mérites pas ça !

Et là, bien sûr, on assiste à la confrontation entre les voyageurs et le terrible Monsieur Meu. Ils ont dû se sentir comme dans un western sauvage, enfin, un western avec une autruche. C’est clair qu’à ce moment-là, la propriétaire de l’oiseau est en mode « Je m’en fiche totalement. » Quelle tranquillité d’esprit, hein ? Après tout, ce n’est qu’une autruche déchaînée, non ? Vous imaginez, dans la vraie vie, s’il y avait un émeu en furie dans votre salon ? Franchement, je vous souhaite bien du courage !

Et voilà, l’épisode 10 de « What the Cut » touche à sa fin. N’oubliez pas de me suivre sur Facebook, Twitter et de vous abonner à ma chaîne pour ne rien rater de mes délires. Partagez cette vidéo, c’est vital pour l’humanité (ou presque). Ah, et dernière info : les prochains épisodes sortiront tous les deux semaines, le vendredi. Alors, préparez-vous à rire et à être étonnés. D’ici là, portez-vous bien et n’oubliez pas de garder un œil sur les autruches sauvages dans votre voisinage !

Allez, à la prochaine et souvenez-vous, le style Oppa Gangnam est toujours d’actualité… pour quelqu’un, quelque part. Au revoir les amis !

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