Nous voilà en présence d’une pépite humoristique de 1991 : « Le Député » interprété par le mythique duo Chevallier et Laspalès. Imaginez-vous, monsieur le député fraîchement élu avec un score éblouissant de 1-1 au sein de la prestigieuse Assemblée nationale. On se demande presque si c’est du football ou de la politique ! C’est dans les mystères de la danse et de la fichue DDT (Démocratie Déjà Tordue) que se cache ce député hors du commun.
Cela fait déjà quatre ans que nos deux compères arpentent les couloirs de l’hémicycle, et les hauts et les bas s’enchaînent comme dans une telenovela. Et devinez quoi ? Notre cher député est également le premier candidat officiel pour les élections présidentielles de 1995. Oui, oui, vous avez bien entendu. Mais avant tout, il faut se demander : qui est-il ? Un mystère psychologique ambulant ! Personne ne le connaît vraiment, même pas son ombre.
Oh, mais ne nous arrêtons pas là ! Les questions fusent, les réponses échappent, et l’humour est au rendez-vous. « Quelles sont les grandes lignes de votre programme économique, monsieur le député ? » Et là, c’est le moment où le député cherche le fil d’Ariane dans le labyrinthe économique. Mais rassurez-vous, il est là pour nous divertir, pas pour résoudre la crise économique.
Attendez, attendez, ne vous inquiétez pas pour la circoncision, c’est une affaire personnelle. Chacun fait comme il l’entend, et notre député sait très bien comment tourner la question. C’est comme jongler avec des œufs, n’est-ce pas ? Et puis, il y a cette histoire de côtoyer Jean-Louis. On se demande s’il s’agit de Jean-Louis le militaire ou de Jean-Louis le mannequin. Apparemment, sa femme avait un faible pour le militaire en tenue. Des secrets bien gardés !
Maintenant, la grande question : que ferait notre député s’il remportait la victoire ? Le voisin peut bien gagner aussi, n’est-ce pas ? Mais pour lui, les affaires étrangères, ce n’est pas son truc. Pas question de parcourir le globe pour se mêler des affaires des autres. Les problèmes à l’étranger ? Il préfère les laisser là où ils sont, comme des chaussettes sales dans un coin.
Ah, l’Allemagne, ce pays des jeunes, avec ses Allemands tout va bien ! Et nous, les Français, on a choisi de vivre ici, tranquilles, sans se casser la tête. Le député a des dossiers sur la question, mais on se demande si c’est un cours de géographie ou de diplomatie. Entre les forains et les montagnes, c’est tout un monde à découvrir. Mais bon, tant que personne n’essaie de lancer des missiles en forme de baguette, tout ira bien.
Et puis, il y a cette histoire d’armement mondial. Les grandes nations doivent se doter d’armes pour être au top. « Des couteaux, monsieur le député ? » Et voilà qu’il répond avec le sourire qu’il a des ateliers pour répondre aux couteaux par les couteaux. Là, on se croirait dans une scène de duel à l’ancienne. C’est sûr, avec lui, on n’aura pas besoin d’experts en désarmement.
Le rythme s’accélère, les questions fusent à toute vitesse. Le député nous livre sa vision sur le chômage, l’infinité fonctionnelle, la France grande nation, les animaux, et même les éléphants qui semblent en voie de disparition. Les femmes savent, les brebis se font rares, et les caniches prennent le pouvoir. On se demande si on est encore dans le monde politique ou si on a basculé dans un safari comique.
Enfin, il parle de la guerre et de la boisson. La guerre, c’est les rires qui fusent, et la boisson, c’est le vin rouge qui coule à flots. Et puis, on termine avec un vibrant hommage à la France, cette nation qui oscille entre génialité et mauvaise foi, entre rêves et réalité.
Voilà, mesdames et messieurs, une pépite d’humour à la française ! Entre les réponses loufoques du député et les questions qui partent dans tous les sens, on est servis en rires et en absurdités. Chevallier et Laspalès nous ont offert un sketch qui nous rappelle que la politique peut être aussi drôle qu’incompréhensible. Alors, si vous voulez rire un bon coup et oublier les soucis du quotidien, n’hésitez pas à plonger dans cet univers hilarant et décalé du député et de ses réponses hors du commun. Et n’oubliez pas : même si la politique est sérieuse, il y a toujours de la place pour un peu d’humour et de folie !